Lucas Bravo pour Citizen K
Le nouvel éditorial consacré à Lucas Bravo nous plonge immédiatement dans une ambiance cinématographique. Dès les premières images, on retrouve l’acteur dans un décor qui évoque le mystère, photographié dans un studio photo à Paris, une atmosphère qui renforce son charme discret et son regard intense.
Une aura de détective moderne
Costume sombre, lunettes de soleil et posture assurée : Lucas Bravo adopte une allure de héros silencieux, presque détective, toujours en mouvement. Cette série joue avec les codes du film noir tout en conservant une élégance très contemporaine. Le travail de Fred Gervais, précis et soigné, accentue les contrastes et capte les nuances de l’acteur sans jamais figer son énergie.
Dans ce numéro de Citizen K, chaque photo semble raconter une histoire. L’acteur évolue dans un décor épuré, pensé comme un terrain de jeu visuel, un espace où la lumière sculpte les silhouettes. Ce type d’esthétique, très graphique, rappelle l’atmosphère que l’on retrouve souvent dans les projets tournés dans des lieux modulables similaires au studio Le Canal, parfait pour les grandes constructions, ou au décor plus intimiste du studio La Campagne.
L’acteur derrière le personnage
Depuis Emily in Paris, Lucas Bravo joue avec son image, la transforme et l’affine. Ici, on le découvre plus mystérieux, plus mature. Son charisme naturel reste intact, mais il gagne en intensité grâce à cette direction artistique qui mise sur la retenue. On sent une volonté de dévoiler une nouvelle facette, d’explorer la porosité entre fiction et réalité. Cette transition se lit aussi dans la manière dont il habite l’espace, toujours entre contrôle et abandon.
Une élégance habitée, presque narrative
Le stylisme, signé Laurent Dombrowicz, accompagne cette transformation. Les silhouettes sont épurées, parfois rigides, parfois souples, créant un dialogue subtil entre mode et mouvement.
Ces choix donnent au shooting une dimension presque scénaristique. On imagine Lucas Bravo marcher dans une rue au petit matin, comme un protagoniste en quête de vérité. Cette tension dramatique s’équilibre avec des touches d’humour visuel et une douceur inattendue.
Pour les passionnés de productions éditoriales, cette série offre un bel exemple de collaboration fluide entre direction artistique, lumière et photographie. Et pour ceux qui s’intéressent aux coulisses, d’autres inspirations de ce type sont à retrouver dans la rubrique Actualités ou dans les projets présentés dans la catégorie Édito, où différents artistes explorent des univers aussi variés que la mode futuriste ou les portraits narratifs.
Une parenthèse gourmande et inattendue
Si l’on connaît Lucas Bravo pour son personnage de chef, on sait aussi que la cuisine reste un de ses terrains d’expression favoris. On ne serait donc pas surpris de retrouver, dans les pages de Citizen K, quelques clins d’œil culinaires ou un témoignage plus intime sur son rapport à la création. Ce mélange entre art, cuisine et image contribue à son identité plurielle.
Crédits
Creative director: @bambi_kappauf
Artistic director: @tatiana_dumabin
Graphic designer: @zerozoro_studio
Photographer: @fredgervaisd
Fashion editor: @laurentdombrowicz
Ass. stylist: @atelier.fhd
Set designer: @andro.i.d
Hair: @eduardobravohair
Makeup artist: @makeupbykellymcclain
Production: @diggakhedija
Interview: @josephineroney
Pour aller plus loin
Pour découvrir d’autres univers visuels réalisés dans des atmosphères différentes, vous pouvez explorer les projets tournés dans le studio Le Canal, idéal pour les productions à grande échelle, ou ceux réalisés dans studio La Campagne, parfait pour des séries plus narratives et feutrées.







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